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Inscrit le 05/12/2021 |
Au cours de cette pandémie on assiste à un curieux spectacle.
Nous avons le droit de nous faire vacciner ou pas. Mais cette liberté, octroyée par le droit du fait de l ' absence d ' obligation légale de se faire vacciner est contestée car nous avons le devoir de nous faire vacciner. Pour que nous nous soumettions à ce devoir, faute d 'une obligation légale , nous avons subit des pressions dignes des " deux minutes de la haine" décrites dans le roman " 1984 " : le président en personne disant nous emmerder, un de ses sbires affirmant que les non-vaccinés devraient payer leurs frais d 'hospitalisation.
Le fait que les devoirs doivent dans l 'avenir passer avant les droits semble être en voie de généralisation.
Le porte parole du gouvernement a déclaré : « Dans l'après-Covid,..............On veut aussi poursuivre la redéfinition de notre contrat social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l'autorité aux prestations sociales. » ( https://amp.lepoint.fr/2462590 ). Emmanuel Macron, celui qui e..... les non-vaccinés , avait déjà abondé en ce sens lors de ses voeux pour 2022 (voir : https://twitter.com/bfmtv/status/1476993387488329748 ).
Jean Quatremer, journaliste à Libération résume le problème : " La gestion de la pandémie par Emmanuel Macron aboutit à la mise en place d ' un Etat de plus en plus autoritaire et de moins en moins respectueux des libertés fondamentales qui fait sortir la France du champ des démocraties libérales. Et c ' est désormais théorisé et assumé ( https://twitter.com/quatremer ). |